mercredi 13 décembre 2017

Raspberry Pi acte 2 - Poussez derrière ! (le démarrage)

Bon, c'est bien beau de mettre du courant dans le biniou, mais ça ne fait pas grand chose, ni "pouet", ni "coin-coin". Bin non, ça ne suffit pas !
Je ne vais pas vous offenser en vous disant qu'il faille y adjoindre un clavier USB, une souris USB, un écran. Les moyens (€) me manquent pour avoir un écran spécifique qui va bien, tactile, branché sur le port spécifique.
A la place, en attendant un téléviseur 12V full HD, je vais utiliser un ancien écran d'ordinateur, avec un écran 4/3 à travers un adaptateur HDMI --> VGA, disponible au supermarché du coin pour un peu plus d'une quinzaine d'Euros. Jusque là, rien d'extraordinaire.

Là où cela devient spécifique, c'est que TOUT ce qui est nécessaire pour démarrer va être contenu sur UN SEUL support, une carte mémoire au format "micro SD". Comme elle va être intensément utilisée, elle se doit d'être performante, rapide. Il est admis qu'elle soit d'une classe "10 Mo/sec."
Classe de vitesse
Éviter les cartes de capacité supérieures à 32 Mo.

Ensuite, re pas-offense ; cette framboise ne fonctionne pas avec le système d'exploitation Windows, mais avec Linux. J'ai essayé plusieurs distributions de Linux. Pour ceux qui l'ignore, il n'y a pas 36000 Linux, il n'y en a qu'un. Par contre, comme c'est un logiciel libre, chacun en fait ce qu'il veut, des tas de gens, groupes de gens, en ont fait des -distributions- tel en est le nom, chacune avec ses spécificités. Une de ces spécificités est la plateforme matérielle qui fait fonctionner la distribution Linux. Votre ordinateur personnel peut utiliser une distribution, celle-ci ne fonctionnera pas sur un Raspberry. Ni sur Mac, ni sur autre chose.
Pour les Raspberry, la principale distribution s'appelle «Raspbian» Elle est parfaite. Généraliste, mais parfaite. Par contre, je me suis cassé les dents a essayé d'y faire fonctionner les outils de navigation. Une autre est «Ubuntu Mate». Personnellement, je n'ai pas été convaincu, peut-être m'y suis-je mal pris ?
Une distribution va particulièrement nous intéresser, «OpenPlotter» Elle est élaborée par une équipe (qui réalise aussi la distribution «Navigatrix» pour les PC) dans le but d'avoir une plateforme logicielle dédiée au monde du bateau, facile à utiliser. Elle est actuellement la solution la plus simple pour utiliser OpenCpn sur un Raspberry !
Vous y trouverez également Zygrib pour récupérer des informations météo. Cerise sur le gâteau (mayonnaise sur le tourteau), l'excellentissime «QtVlm» peut aussi être installé, grâce à la réactivité hors-pair de son équipe de développement.

Donc, projetons d'installer cette merveille !   :-)

Comme dit plus haut, TOUT est contenu dans la carte SD. On va donc la préparer pour que le Raspberry puisse l'utiliser. Le Raspberry utilise une astuce ; il divise la carte en 2 parties. Une partie facilement accessible (formatée en FAT32) qui va être utilisée pour le début du processus de démarrage. Une seconde partie, préparée avec un système de fichier plus élaboré, est utilisée pour le reste du démarrage, et la suite du fonctionnement.
Nous avons besoin de quelques outils :
Pour formater la carte : https://www.sdcard.org/downloads/formatter_4/
Puis pour y déposer l'image ISO de la distribution : https://www.sdcard.org/downloads/formatter_4/
S'il faut "refaire" la carte : https://www.partitionwizard.com/free-partition-manager.html
Et, enfin, l'image d'OpenPlotter. Image est à prendre au sens de« réplique exacte du contenu»
Une fois tout ceci téléchargé et installer sur un ordinateur, nous pourrons nous retrousser les manches et démarrer sérieusement.
Vous poussez toujours ? Je peux embrayer ?   :-D

mardi 12 décembre 2017

Caisse à outils : Le fer à souder

Suite à l'avalanche de discussion à propos du fer à souder déclencher par une photo d'un article précédent, voici quelques précisions quant à cet outil.
Il s'agit d'un antique Weller WECP (fin des années 1970)

La panne du fer, montrée dans l'article précédent (https://lauben-figaroone.blogspot.fr/2017/12/raspberry-pi-acte1-alimenter-partir-du.html), est revenue dans un état correct, bien brillante, en la grattant légèrement avec le dos d'un couteau.
A propos des pannes pour ces vieux fers, Weller signale que les pannes sont dans la série "ET"

lundi 11 décembre 2017

Raspberry Pi - acte1 : Alimenter à partir du 12V

Alimenter le Raspberry dans un bateau / un véhicule

Le Pi nécessite une tension de 5 Volts, et va consommer moins de 1 Ampère.
Pour  disposer d'une telle tension, dans un bateau ou dans un camping-car, j'ai trouvé sur le site fr.aliexpress.com, des adaptateurs à très peu cher.

Le modèle de gauche (réglable) vaut moins d'1 Euro, rendu dans votre boite à lettres, celui de droite, un peu plus puissant, moins de 5€.
Si vous utilisez un modèle réglable, pensez bien à le régler AVANT de le connecter au Raspberry.

Ne pas oublier d'insérer un fusible en amont du convertisseur, en rapport avec la consommation que vous relèverez.

Un autre modèle réglable que j'utilise, bien pratique, avec des borniers et un afficheur de tension (entrée ou sortie).

Maintenant, quelque chose de particulier. En général, et dans un bateau en particulier, un montage électronique dans quelque chose qui bouge beaucoup, et fort, qui vibre, va rapidement être victime de faux contacts. La prise USB n'est pas la hauteur du niveau de service attendu. On va donc alimenter le raspberry en soudant des fils d'alimentation directement sur le circuit imprimé. Il faut avoir le schéma de l'équipement pour savoir où souder. Les schémas sont publics, vous les trouverez ici.
Gagnons du temps en disant que, sur un Raspberry 2 ou 3, le 12V avant fusible (il y a un fusible "auto-cicatrisant" sur ces petites bêtes) est sous les points de test PP5 et PP1.

A l'aide d'une panne de fer à souder bien fine :
D'accord, elle n'est pas très présentable, mais il n'est pas facile de trouver des pannes pour un fer à souder des années 1970 / 1980 :-)

Puis, on soude les fils ainsi :




Voilà, rendez-vous bientôt pour le module RTC, pour que votre Raspberry conserve l'heure quand vous l'éteignez, pour utiliser le port série interne, disponible sur le bus GPIO. Là encore, il y aura de la soudure.
Et d'autres trucs, comme l'utiliser sans écran, avec quelques boutons pour l'allumer, l'éteindre, ...

Suite, voir http://lauben-figaroone.blogspot.fr/2017/12/raspberry-pi-acte-2-poussez-derriere-le.html

vendredi 8 décembre 2017

Simone Veil, dernier Homme d'État ?

Quelle personne, aux affaires actuellement, pour lui succéder ? Elle voulait le meilleur pour l'Humanité. Après en avoir connu le pire.

Les erreurs ne se regrettent pas, elles s'assument.
La peur ne se fuit pas, elle se surmonte.
L'amour ne se crie pas, il se prouve.
Simone Veil

Venus de tous les continents, croyants et non-croyants, nous appartenons tous à la même planète, à la communauté des hommes. Nous devons être vigilants, et la défendre non seulement contre les forces de la nature qui la menacent, mais encore davantage contre la folie des hommes.
Simone Veil «Une vie»

Merci au magazine «Elle» pour la photo.

Mise à jour
Il y a peu, un de nos députés à propos de la fin de vie interpella le gouvernement en ces termes : Aurez-vous le courage de Simone Veil ? 
Comme quoi...
Merci à LCP la chaîne parlementaire http://www.lcp.fr/la-politique-en-video/fin-de-vie-aurez-vous-le-courage-de-simone-veil-demande-un-depute-la-ministre

jeudi 7 décembre 2017

Adieu monsieur Jean d'Ormesson

Ne vous laissez pas abuser. Souvenez-vous de vous méfier. Et même de l'évidence: elle passe son temps à changer. Ne mettez trop haut ni les gens ni les choses. Ne les mettez pas trop bas. Non, ne les mettez pas trop bas. Montez. Renoncez à la haine: elle fait plus de mal à ceux qui l'éprouvent qu'à ceux qui en sont l'objet. Ne cherchez pas à être sage à tout prix. La folie est aussi une sagesse. Et la sagesse, une folie. Fuyez les préceptes et les donneurs de leçons. Jetez ce livre. Faites ce que vous voulez. Et ce que vous pouvez. Pleurez quand il le faut. Riez.
J'ai beaucoup ri. J'ai ri du monde et des autres et de moi. Rien n'est très important. Tout est tragique. Tout ce que nous aimons mourra. Et je mourrai moi aussi. La vie est belle.

Jean d'Ormesson «C'était bien»


Je n'étais pas d'accord avec certaines de vos opinions, mais vous aviez plus de bienveillance envers autrui, qu'en ont les gens qui partagent mes opinions.
Sans doute étiez-vous "crypto-anarchiste".

mardi 5 décembre 2017

A ras bord ! ou la gestion de l'énergie sur le bateau


Plutôt la gestion du peu d’énergie électrique disponible sur un bateau à voile


LauBen, et le stockage de l'énergie

En 2014, lors de l'achat de LauBen, ce Figaro One est équipé de 3 batteries 60AH de type "sans entretien" de technologie plomb calcium, d'âge inconnu. Une est dédiée au démarrage du moteur.
Elles sont chargées par l'alternateur du moteur via un répartiteur à diodes classique, donc avec une perte de tension de 0,7 V.
  • Les seules servitudes de l'époque sont :
  • Les feux de route
  • La VHF
  • Une électronique minimale ; loch, sondeur, girouette, anémomètre
J'y ajoute 2 chargeurs 220V 4AH pas chers mais avec cycle de charge, que l'on trouve dans une chaîne de supermarchés en 4 lettres.

Déjà, avec cette configuration, une sortie à la journée nécessite que, le soir à l'escale, il faille mettre les chargeurs. Et pourtant, il y a 120AH en ligne !

Depuis, les instruments du bord ont pris un embonpoint certain et consomment plus, ils gèrent un pilote automatique, lui-même doté d'un actionneur, qui a besoin de puissance.
Bientôt un nano-ordinateur va leur être greffé, encore de la consommation qui s'ajoute.
A l'avenir, j'ai prévu d'être concurrent à certaines régates qui imposent un transpondeur AIS...
Bref, va falloir des Ampères.

Quelle est la consommation ? 
Est-elle en rapport avec la fourniture d'énergie ?
Dans quel état sont les batteries ?
Pour mesurer tout cela, il va falloir a minima un moniteur de batteries, et estimer l'état de celles-ci.

lundi 4 décembre 2017

D'un ordinateur portable à un nano-ordinateur (RaspBerry Pi) - Prologue acte 0

J'ai coutume de collecter les informations fournis pas les instruments du bord, au cours des navigations. Cela permet, entre autres, de visualiser son parcours a posteriori, d'établir la polaire de son bateau, etc. Pour se faire, il faut un dispositif communément appelé un "datalogger", comme en propose NKE par exemple. Sinon, un ordinateur très ordinaire s'acquitte très bien de la tâche.
Toutefois, la question de l'énergie pose problème, l'autonomie de la batterie d'un ordinateur est souvent bien inférieure à la durée de navigation. Il est possible d'alimenter cet ordinateur par un convertisseur. La consommation électrique de l'ordinateur, déjà importante, se voit augmentée par le rendement du convertisseur. Comme l'électricité du bord provient de batteries, cela ne me semble pas la meilleure solution.

Le test d'un Raspberry Pi (modèle 2) m'a beaucoup impressionné. Malgré que ce nano-ordinateur soit de la génération précédente, OpenCpn, logiciel incontournable s'il en est, fonctionne sans problème.
Cerise sur le gâteau, bigorneau sur le homard, il existe même une distribution logiciel spécialisée !

Bon, ça y est, j'ai le neurone qui me démange !
Particularités :
  • Nécessite une alimentation 5v ~2A
  • Pas de conservation du temps
  • Le port série intégré n'est pas compatible avec la norme RS232, il est TTL
  • 4 ports USB 2
  • 1 port HDMI
Les 3 premiers points se résolvent avec une facilité déconcertante.
Ils sont corollaires d'un énorme avantage de ce matériel, on peut étendre les possibilités d'utilisation alors que ce n'est pas possible, ou très difficilement, avec un ordinateur standard, par l'ajout de matériel comme écran LCD, boutons, ...

Bon, on verra ça dans d'autres articles, dont j'espère voir le bout du premier chapitre d'ici le printemps 2018. Pour la suite, voir http://lauben-figaroone.blogspot.fr/2017/12/raspberry-pi-acte1-alimenter-partir-du.html

Mise à jour 08/12/2017 : Pouvoir l'utiliser sans écran comme datalogger (allumer éteindre avec juste un bouton ON/OFF)

samedi 2 décembre 2017

Energie - acte 1

Enlever le répartiteur,
Câbler le coupe circuit de la batterie moteur pour qu'elle soit rechargée.


Voilà, on a clarifié la situation et préparer l'acte 2, l'insertion du shunt du contrôleur de batterie.

vendredi 1 décembre 2017

Energie - prologue acte 0

Faisons l'inventaire de l'existant, détaillons la scène de crime, autopsions le cadavre.

3 batteries dites "sans entretien", plomb-calcium, de 60Ah chacune, bien fatiguées.
2 en servitude, 1 pour le moteur.



Le répartiteur est un modèle à diodes classique. On peut remarquer qu'en aucun cas, les coupes-circuit n'isolent complétement les batteries.
Bon, elles sont isolées les unes des autres par le répartiteur.

A savoir pour la suite des opérations (montage d'un moniteur de batterie), l'alternateur à son négatif isolé de sa carcasse.

Voilà à quoi cela ressemble, peu après l'achat du bateau.

Allez ! On va recâbler cela, et ajouter un moniteur de batterie (NASAmarine BM1) !
http://www.nasamarine.com/product-category/products/battery-monitors/

mercredi 29 novembre 2017

Feu (à LEDs) tricolore de tête de mat (NASA)

Fiat lux !

A l'occasion du changement d'aérien, j'ai pu lever un vieux doute, il n'y avait pas de câble électrique pour alimenter le feux de tête de mat est ... inexistant. Serait-ce un modèle à bougie ?

J'ai donc acheté un feu tricolore «SuperNova» auprès de NASA marine (http://www.nasamarine.com/product/supernova/) Il existe aussi un modèle avec feu de mouillage (http://www.nasamarine.com/product/supernova-combi-tri-and-anchor-l-e-d-mastlight/)
J'avoue, un truc ultra léger, genre (https://www.inorope.com/shop/introuvables/feu-de-mat-tricolore-a-led-ts-lite/) m'a tenté.

Ensuite, passage de 2 câbles électriques dans le mat.
2 ? Et oui, il en faut un aussi pour l'aérien. Donc j'ai passé 2 câbles compatibles NKE, dont un servira pour le feu. :-)

Le câble est de marque Alphawire, modèle 2402C (http://www.alphawire.com/Products/Cable/Alpha-Essentials/Communication-and-Control-Cable/2402C?popup=pdf), acheté chez Farnell.

Le montage de l'antenne VHF est éclairé par le secteur blanc du feu, il faudra que j'éloigne l'antenne.


Modification du mat : De GV à ralingue à GV à coulisseaux

La GV de LauBen est "à ralingue". Affalée, rien ne la relie au mat.
Naviguant majoritairement en solo, la GV affalée, même maintenue par les lazy jacks, s'envolait, alors que j'avais autre chose à faire que la ferler correctement. Ou pas correctement d'ailleurs.

J'ai donc décidé de ma simplifier la vie, en la faisant équiper de coulisseaux. Par contre, cela implique de modifier le mat. On en a papoté ici :  http://www.hisse-et-oh.com/forums/equipements/messages/1878022-modif-mat-de-ralingue-a-coulisseaux-remplacer-engoujure-et-ouvrir-la-gorge  

Voici la fenêtre d'engoujure, bien usée. Dessous, les bijoux de famille du chat.


Une fois les rivets percés, la fenêtre d'engoujure retirée, le fond du profil apparait.
La voilerie vous prêtera probablement une collection de coulisseaux, afin que vous déterminiez lequel s'adapte le mieux. Ici, ce sera coulisseau rond de diamètre 8.

Pas de photo de l'ouverture de la nouvelle fenêtre des coulisseaux, mais en voici une du bouchon qui empêchera les coulisseaux de sortir. L'ouverture est au raz de la bôme.

Le trou laissé par la fenêtre d'engoujure est refermé, sinon les coulisseaux sortiraient. Le trou est meulé à l'équerre de la gorge.
Deux plaques en tôle d'alu ont été découpées exactement à la longueur du trou.
Elles sont fixées de part et d'autre, par des rivets pop. Mat, tôle et rivets sont en alu, la corrosion ne s'installera pas de suite. Avec un jet en acier, les tôles sont doucement rabattues pour créer une continuation à la gorge. Un petit coup de lime finira cela.

Depuis lors, un easy bag complète cet ensemble.
Entre la décision de hisser et la GV en tête de mat, il ne se passe pas beaucoup de temps. Il en faut un peu plus quand même entre la décision d'affaler et la GV enfermée dans son sac, principalement par le fait qu'il faille se mettre face au vent, et qu'une fois la voile affalée, il est bon de minimiser les plis avant de fermer le sac.

LauBen étant très volage. En solo, dire que les manœuvres de voiles sont délicates est un euphémisme. Donc, un pilote est venu prendre ses quartiers à bord ☺. On en parlera dans pas longtemps.

Travaux réalisés en février 2016

Le shadock et sa pompe

LauBen a la goutte au nez...
Ou la réparation d'une pompe à eau de Yanmar 1GM


Un peu d'eau dans les fonds ? D'où cela provient-il ?
Grrr ! :-( La pompe à eau de Bob, un brave Yanmar 1GM à refroidissement externe fuit, à peu près un verre à l'heure. C'est nouveau, ça. Bon, faut soigner avant que ça empire.

La procédure a très bien été décrite sous ce lien : http://lapierre.skunkworks.free.fr/pompe.php
Pour nettoyer le corps de la pompe, le mettre dans un récipient, couvert par du vinaigre blanc, et faire chauffer... en respirant un peu plus loin.

Ooops !

Ça fait quelques temps que je n'ai pas prosé !


Que s'est-il passé pendant ce temps ?
  • La grand-voile est modifiée, par ajout de coulisseaux (février 2016)
  • Les voiles d'avant sont dotées de mousquetons "une main"
  • Des sacs de pont me font poser la question "Comment ai-je pu m'en passer ?" 
  • Un feu de tête de mat illumine l'horizon(octobre 2016)
  • Les instruments Tacktick ont été remplacés par des instruments NKE (Merci FC12 ☺)
  • Et un pilote automatique (NKE toujours) les complète !
  • La pompe à eau a été refaite (je ne sais plus quand, printemps 2017 ?)
  • Le tangon est accueilli dans un rangement original