Raspberry Pi acte 3 - Poussez (encore) derrière ! (le démarrage)
Pour notre culture
générale, on va observer la structure de cette carte. Pour faire
cela, nous allons utiliser un outil de partitionnement (voir article
précédent).
J’insère la carte
SD dans mon PC de tout les jours, pas dans le Raspberry. Au bout de
quelques instants, le système d’exploitation me propose d’en
examiner le contenu.
Voilà une situation
qui permet d’utiliser cette carte SD :
-
Une seule partition,
-
en FAT32,
-
qui occupe tout le disque.
L’étape suivante
va donc consister à y écrire l’image que nous avons préalablement
chargée, OpenPlotter dans le cas qui nous intéresse.
J’évite les
versions « NOOBS », car je n’ai pas cerné l’avantage
de les utiliser. Quant à la version, l’outil, une fois installé,
dispose des fonctionnalités à cette intention.
Réquisitionnons
l’outil adapté, après avoir fermé l’outil de partitionnement.
En effet, ces outils qui agissent sur les disques ont besoin d’en
avoir l’accès exclusif. Reportez vous à l’article précédent
pour plus de précisions.
En attendant la fin
du téléchargement d’OpenPlotter, on va installer Raspbian, c’est
la seule image que j’ai sur mon PC
On lance l’outil.
On charge le fichier
de l’image dans l’outil et que le périphérique est bien la
carte SD
Et puis on écrit
cette image sur la carte SD
Le message
d’avertissement
Et voilà !
Si la même
opération avait été faite avec OpenPlotter, il n’y aurait plus
qu’à glisser la carte SD dans le Raspberry, et à démarrer ce
dernier !
Toujours en
attendant la fin du téléchargement, on va remettre la carte SD dans
l’état initial.
Cette opération
nécessite 2 outils, un outil de partitionnement, et un outil de
formatage. Bien que les outils de partitionnement soient capables de
formater, le consortium « SD card » fournit un
utilitaire dédié, alors, utilisons-le !
Le partitionnement
tel que nous pouvons le découvrir.
On va supprimer
chacune des partitions, puis en créer une seule, qui occupera
l’intégralité de la carte. Je n’ai pas réussi à faire de
recopie d’écran des actions, on va donc passer par l’écrit :
Sélectionner la
dernière partition, ici celle en Ext4
Y faire un clic
droit
Choisir la commande
« Delete »
Ne pas oublier
d’appliquer les modifications définies.
Message
d’avertissement
Puis message de
bonne fin
Ce n’est pas
fini !
Toujours dans
l’outil de partitionnement, sélectionner la carte SD, faire un
clic droit sur la zone non allouée, choisir la commande « Create »
Cliquer sur OK, et
ne pas oublier de cliquer sur le bouton « Apply », qui
sera de nouveau suivi des messages d’avertissement et de réussite.
Et on obtient :
Et on obtient :
Fermons l’outil,
et passons au formatage
Après message
d’avertissement et de réussite, une poignée de secondes suffisent
pour obtenir le résultat suivant :
Le chapitre suivant
nous entretiendra du démarrage du Raspberry avec cette carte SD
fraîchement formatée.
A bientôt !